A l’aube de la maternité, après s’être posé les questions « berceau ou cododo? », « cosy ou siège-auto? », on se demande invariablement « allaitement maternel ou artificiel? »
Parfois, pour des raisons de santé par exemple, le choix n’est pas possible. D’autres fois, il s’agit seulement d’une question d’envie, de temps, de moments. Et lorsque l’on a fait le choix de l’allaitement artificiel se pose alors une dernière question: « quel lait? »

Vrac de biberons./ Photo Fred_V
Après avoir comparé des avis, lu les compositions des boîtes, demandé leurs usages aux copains, on n’est parfois guère plus avancé. On nous avait dit d’attendre le séjour à la maternité, pour acheter le même lait que celui donné après la naissance. Mais nous sommes têtus. Et nous lorgnions avidement sur le lait Hipp de notre supermarché, bio et au même prix que les autres laits infantiles plus courants, comme Gallia ou Guigoz. Soucieux de faire au mieux, nous avons tout de même posé la question à la puéricultrice venue faire la visite de sortie de la maternité de Miss Swing: « Pas besoin d’y aller progressivement, vous enchaînez avec le lait que vous avez choisi. Pour moi, tous les laits infantiles se valent. Il faudra patienter quelques semaines pour voir si ce lait lui convient bien. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le stock de petits biberons de la maternité épuisé, nous enchaînons sur le Hipp. Aucune réticence de la part du bébé, aucune grimace, elle encaisse le changement. A la visite du premier mois, j’évoque quelques régurgitations. Aussitôt on me répond: « Si ce n’est pas abondant, qu’elle grossit et que ça ne semble pas douloureux, il n’y a aucun problème. Les rejets, c’est normal. En poids comparé, c’est comme si vous, vous absorbiez chaque jour une dizaine de litres d’eau. Vous auriez sûrement quelques petits rejets. » On décide de conserver notre lait (qui, quoique relativement épais dans sa composition, n’est pas un lait épaissi au même titre que les laits dits de confort). Deux mois plus tard, elle grossit tranquillement, est très éveillée et a des selles quotidiennes. La pédiatre, après avoir reconnu les visibles bienfaits de ce lait qu’elle ne connaissait que de nom, nous a dit que la bonne digestion de Miss Swing venait notamment des probiotiques qu’il contenait. Des éléments compris dans d’autres laits, y compris non bio. A rechercher donc!
Les laits bios, contrairement aux autres laits infantiles, ne contiennent pas de taurine. Par contre, nombre d’entre eux contiennent de l’huile de palme bio. Il semblerait que le « Prémilait bio » n’en contienne pas.
Nous n’avons testé qu’un seul lait infantile bio pour le moment. Mais une internaute a fait ici un rapide récapitulatif. Des nombreux avis que l’on a pu lire, le lait Holle semble le plus apprécié. Mais il présente le défaut, à mes yeux, de ne se trouver qu’en magasin bio ou sur commande.
Et vous, un lait infantile à recommander?
-Lexie Swing-
Ici aussi s’est posé la question du lait , qui a été de suite après celui de la maternité , un lait BIO , et n’a jamais changé ,commander sur internet , c’était du BabyBio je crois si mes souvenirs sont bons… Mais il y a eu bien avant le choix du lait , le choix des biberons , car un bon lait c’est bien mais dans un biberon sans merdes c’est mieux … Chez nous ce sont les biberons Green to grow acheter également sur internet en boutique bio qui ont remportés nos faveurs ,avec les tétines qui vont avec bien entendue …Voilà pour ce qui est de notre expériences .