Orange is the new black, vous connaissez? C’est la série à la mode sur Netflix, moins connue que le très bon House of Cards mais tout aussi additive. Piper Chapman est une jolie blonde, plutôt intellectuelle, qui atterrit dans une prison pour femmes pour avoir transporté un sac de billets contenant de l’argent de la drogue dix ans plus tôt. 15 mois enfermée avec d’autres criminelles. Ça sonnait comme un truc qui allait tourner en rond, un peu comme le hamster dans sa cage qui pédale en contemplant toujours la même grille. Force est de constater qu’il y a beaucoup plus de rebondissements que dans d’autres séries. Et que le hamster a beaucoup plus d’imagination et de sens de la répartie qu’un canard colvert à la fin de l’hiver (j’ai filé la métaphore si loin que je nous ai perdus non? Le canard colvert est un oiseau migrateur… qui voit du pays… surtout à la fin de l’hiver, alors qu’il revient de son périple en zones chaudes… ça y’est on a retrouvé la route regarde ;)).
La belle Piper, un peu trop propre sur elle et sensible au début de la série, vire rapidement acerbe, sarcastique et même légèrement dure… On aurait pas imaginé une midinette en robe de bal parfaitement manucurée jouant les prisonnières parfaites dans ce rôle très autocentré qu’est celui de Piper Chapman! Les scénaristes ont su la jouer finement pour donner une multitude de reliefs à ce personnage hyper attachant. Une vraie bonne copine… à qui on ne laisserait pas un couteau quand même ;)
A noter que les épisodes laissent entrevoir la vie et le caractère de nombreux autres personnages, dressant ainsi un tableau hyper complexe, fait de multiples saynettes. Ce genre de tableau que l’on ne finit jamais de découvrir. Vivement la saison 2!
AH j’ai vraiment aimé cette série. Je l’ai dévorée en deux jours!
On a adoré également, vivement début juin pour la saison 2:p