Une cabane dans les arbres, une maisonnette dans le jardin, une cachette dans le sous-sol… Je pense que tous les enfants du monde rêvent d’un petit coin à eux. Pour ma part, j’ai fantasmé fort longtemps, petite fille, sur la perspective d’avoir une maison pour enfants. Je salivais devant les mini-demeures, rangées dans un recoin de la jardinerie, sans savoir qu’il s’agissait d’abri de jardin.
J’en ai un, maintenant, d’abri de jardin, et c’est pas pantoute cosy, entre les araignées pis la rare lumière du jour.
Reste que, après avoir hésité entre un coffre à jouets et un cheval à bascule, c’est finalement une cachette que nous avons choisie pour Tempête, pour l’anniversaire de sa première année (+ 10 mois, on est du genre indécis).
Un tipi. Un merveilleux, somptueux tipi.
Je l’ai vu s’afficher un jour sur le profil d’une amie. Un tipi fait main pour le petit garçon qui les rejoindra bientôt. Il était parfait! Un abri idéal, un élément déco adorable.
Alors j’ai contacté la créatrice, Valérie, pour connaître la démarche. J’ai donné mes préférences de coloris, elle m’a proposé des tissus. J’ai hésité parce que je voulais qu’ils soient bien coordonnés. Elle m’est venue en aide et m’a conseillée. Nous avons opté pour un coussin de sol, Valérie a sélectionné les motifs adaptés. Choix, approbation, paiement des tissus et du travail, et attente avec de belles images en tête.
Mais aucune image n’était aussi jolie que le travail que j’ai eu sous les yeux le jour où B. et moi avons fait la route jusqu’à Mascouche. Il était là, dressé au milieu du salon. Avec ses plumes et son tapis motif écorce. Sa cabane, son refuge. Valérie y avait inclus une poche du même motif que les rabats et nous a offert un toutou tout doux, juste comme ça.
Ça a pris un instant pour le plier, un autre à peine pour le faire glisser dans l’auto. Maintenant il est là, dans sa chambre. Il trône fièrement, rempli de peluches et de coussins en tout genre. Les rabats sont souvent fermés. Tempête y tient des conciliabules secrets, avec sa sœur et ses toutous. Un monde s’invente là, entre 5 pieds et plusieurs morceaux de beaux tissus.
Comment ça fonctionne? On prend contact avec Valérie, elle vous explique quels choix s’offrent à vous, quelle est la taille du tipi, de quelle façon il est possible de le personnaliser, etc. Vous vous accordez sur des choix de tissus, Valérie le confectionne et elle vous envoie des photos de votre tipi une fois créé! Ensuite, plusieurs possibilités : vous venez rencontrer Valérie directement chez elle à Mascouche et vous récupérez votre tipi, vous vous mettez d’accord avec la créatrice pour qu’elle vous le porte car vous habitez dans les environs, ou vous utilisez une livraison traditionnelle (UPS, …).
Combien ça coûte? Toutes les options sont possibles et le prix diffère en fonction des choix que vous faites. Notre tipi, tel que vous le voyez sur les photos, avec tapis de sol, nous a coûté 187 dollars tout compris.
Et si je ne veux pas de tipi? Allez quand même faire un tour sur la page Facebook de Sur le fil! Cette créatrice aux doigts de fée fait de multiples choses : toutou personnalisé, couverture, bavoirs, courtepointe, guirlande de fanions…, et elle est ouverte aux suggestions!
-Lexie Swing-
Crédit photo : Lexie Swing
Il est super!
Comme toi, j’ai longtemps rêvé d’une maison à moi (dans le genre petite, pas une vraie que je devrais nettoyer et tout, hein), d’une cabane aussi. Bon, je me suis souvent rabattue sur le recoin basique fait d’un matelas et de la couette :lol:
Je ne sais pas si ça tenterait Mark… il n’a pas l’air de chercher à se faire des maisons.
Tempête non plus je t’avoue, et B. pas vraiment plus. Mais finalement elles aiment quand même se cacher dedans. Je trouve que ça correspond bien à l’âge de la petite (deux ans bientôt). Plus grand je crois que j’irais vers un lit cabane ou une vraie cabane dans le jardin.
Il est beau comme tout ce tipi, mon frère en a un aussi pour mes neveux / niece et c’est super mignon.
Tout pareil je revais d’une cabane, d’un endroit rien qu’a moi :)
Mon tonton avait installe une cabane de jardin pour ces filles et c’etait « leur maison »